Les performances orthographiques et phonographiques dans l’épreuve de dictée : comparaison des enquêtés « bas » et « haut »

Carole Blondel, Catherine Brissaud et Fanny Rinck

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Carole Blondel, Catherine Brissaud et Fanny Rinck, « Les performances orthographiques et phonographiques dans l’épreuve de dictée : comparaison des enquêtés « bas » et « haut » », Langues et recherche [En ligne], mis en ligne le 15 novembre 2023, consulté le 28 avril 2024. URL : https://www.languesetrecherche.fr/127

Nous présentons dans un premier temps, les performances orthographiques des 108 enquêtés « bas » et des 87 enquêtés « haut » sur 16 mots de la dictée : pharmacieantirhumealcoolépicerietomate(s)payscerise(s)confiture(s)selfromagessententfortlibrairiefiancésolennel, ainsi que les performances phonographiques sur les 6 pseudo-mots : micatolsirapeduxegobarjocpévanor.

Codage des différents items

Ces items ont été codés selon le respect de la forme orthographique pour les mots et le respect de la forme phonographique pour les pseudo-mots. Les deux marques de nombre (le -s de fromages et le -nt de sentent) ont également été comptabilisées. Les items qui, sans déterminant, peuvent porter ou non la marque de pluriel : tomate(s), cerise(s), confiture(s)) pouvaient être écrits soit au pluriel soit au singulier.

Les pourcentages de réussite ont été calculés en fonction du nombre de réponses produites. Nous avons choisi de ne pas prendre en compte les non réponses dans ce calcul, l’absence de graphie ne signifiant pas nécessairement que l’enquêté n’était pas capable de produire une forme correcte. Certains enquêtés ont par exemple écrit tous les produits de la liste de courses sans noter le nom des rayons (pharmacie, épicerie, librairie), ce qui semble davantage provenir d’un choix ou d’une incompréhension de la consigne.

Le critère orthographique pour les mots

Par mesure d’équité, nous n’avons pas pris en compte l’absence d’un accent sur le « e » initial de « épicerie », celui-ci ayant très souvent été transcrit avec une majuscule non accentuée. Nous ne souhaitions pas imputer de « e » accentué (Epicerie = épicerie), tout en considérant comme une graphie erronée les « e » minuscules non accentués (epicerie). En revanche, nous avons considéré comme erronées les adjonctions de diacritiques, accents (*épicèrie, *cérise, *rhûme) ou cédille (*çerises).

Le critère phonographique pour les pseudo‑mots 

Les pseudo-mots ont été codés selon leur conformité au principe phonographique. Nous présentons, dans le tableau 1, les formes de notre corpus que nous avons retenues comme phonographiquement correctes. Les listes ont été établies à partir des formes produites par les enquêtés « bas », ces derniers ayant produit un plus grand nombre de formes différentes que les enquêtés « haut ».

Tableau 1. Relevé des formes codées comme phonographiquement correctes parmi les graphies proposées par les enquêtés « bas »

SIRAPE

sirape – cirape – syrape – sirap – sirapeu – cirap – çirape – cirappe – cyrap – cyrape – sirappe – sixrape – syrap

DUXE

dux – duxe – duxce – d'uxe – duxs

GOBAR

gaubar – gaubard – gaubart – gobar – gobard – gobare – gobarre – gobart – gobbar

JOC

joc – jock – jok – jocque – jocques – joke – joq – joque – jauc – jauke – jauque – jauques – jek – jeuq

PEVANOR

pevanor – pévanor – pevanord – pévanord – pevanore – pévanore – pévanorre – pevanort – pévanort – pévannor

Ne disposant pas de données concernant la manière dont les items ont été dictés et notamment sur une éventuelle particularité de prononciation des enquêteurs, nous avons comptabilisé comme acceptables des formes graphiques qui diffèrent de la forme sonore attendue et qui peuvent provenir de la prononciation inhérente à l’enquêteur ou à l’enquêté. Nous avons ainsi accepté la substitution du phonème /ɶ/ ou /ə/ au phonème /ɔ/, très proches, dans micatol : /mikatɶl/ (micateul) et joc : /ʒɶk/ (jek, jeuq).

Par ailleurs, même si certaines formes graphiques sont plus probables que d’autres en français (ex. cirape plutôt que cirap), toutes ont été traitées de la même manière, aucune orthographe ne prédominant pour la graphie de pseudo-mots.

Répartition des scores obtenus à la dictée IVQ

Nous comparons dans la figure 2, les scores obtenus par les enquêtés « bas » et les enquêtés « haut » à la dictée IVQ. La dictée a été notée sur 24 points9, avec 1 point attribué par item réussi (sur les 16 mots et 6 pseudo-mots) et 2 points pour la morphographie (1 point pour le -s de fromages et 1 point pour le -nt de sentent).

Figure 2. Répartition des enquêtés « bas » et « haut » en fonction des scores obtenus à la dictée du module bas

Figure 2. Répartition des enquêtés « bas » et « haut » en fonction des scores obtenus à la dictée du module bas

La figure 2 permet d’observer que les performances orthographiques au sein de chaque population sont très différentes. Pour les enquêtés « bas », la dispersion des scores est maximale (de 0 à 24) avec une médiane à 17 sur 24 et quelques très bons scores : un faible niveau de compétences en lecture ou en compréhension (tel que révélé par le test d’orientation) n’affecte donc pas nécessairement les compétences orthographiques évaluées. 33 % des enquêtés « bas » ont en effet obtenu un taux de réussite supérieur à 80 %, avec un score compris entre 20 et 24.

Chez les enquêtés « haut », on observe en revanche moins de dispersion (la note la plus faible, et qui ne concerne qu’un seul enquêté, est de 13 sur 24). La majorité a très bien réussi l’exercice (plus de 80 % de réussite pour 88 % d’entre eux), avec une concentration des scores entre 20 et 24 sur 24, et une médiane à 23 sur 24.

Le test d’orientation a donc permis de repérer les personnes les plus en difficulté avec l’écrit puisqu’aucun enquêté du module haut n’a obtenu de score inférieur à 13 mais la dispersion des scores parmi les enquêtés « bas » est révélatrice d’une réalité multiforme des compétences orthographiques, y compris chez un public repéré en difficulté avec l’écrit.

Il apparait donc nécessaire de proposer un test d’écriture si l’on souhaite évaluer les performances en production d’écrit puisque 33 % des enquêtés repérés en difficulté avec l’écrit ont un profil orthographique identique à 88 % des enquêtés « haut », avec une bonne réussite à la dictée (plus de 80 %). De même, le profil orthographique des 11 enquêtés « haut » qui ont obtenu moins de 80 % de réussite doit être observé attentivement pour voir si les difficultés rencontrées sur cette première partie de la dictée prédisent des difficultés en orthographe lexicale ou en morphographie. Celles-ci relèvent en effet de compétences davantage observables grâce à la partie complémentaire de la dictée qui contient du lexique et des structures syntaxiques plus complexes (voir section 1.4.2).

Classement des mots de la dictée IVQ selon la réussite orthographique 

Nous classons à présent les mots de la dictée (hors pseudo-mots) selon leur pourcentage de réussite pour les enquêtés « bas » et « haut ». Pour faciliter la comparaison, les mots sont classés du mieux réussi au moins bien réussi par les enquêtés « bas ».

Figure 3. Proportion de réponses correctes pour les enquêtés « bas » et « haut » et pour chaque mot selon le critère orthographique

Figure 3. Proportion de réponses correctes pour les enquêtés « bas » et « haut » et pour chaque mot selon le critère orthographique

Ce graphique nous permet d’observer que, pour les deux populations, les difficultés portent sur les mêmes mots. En effet, ceux qui ont posé le moins de difficulté aux enquêtés sont globalement les mêmes pour les deux populations : les trois mots les mieux réussis sont identiques (confitureseltomate) ainsi que les mots les moins bien restitués (solennel, rhume, fiancé et sentent).

Ce classement montre également que les différences entre les deux populations portent plutôt sur les mots qui sont phonographiquement irréguliers10 ou moins fréquents (rhume, fiancé, solennel). Les mots fréquents (comme fort ou pharmacie qui ont été plutôt bien restitués par les enquêtés « bas ») ainsi que les mots dont les correspondances phonie-graphie sont les plus régulières du corpus (confiture, sel, tomate) sont en effet les mieux réussis par les deux populations, et plus particulièrement chez les enquêtés « haut » (100 % de réussite) ; les erreurs sur l’item fromages, plutôt régulier, portant davantage sur la marque de nombre11.

Nous constatons que le lexique qui pose problème aux personnes les plus en difficulté avec l’écrit (mots peu fréquents ou aux correspondances phonie-graphie irrégulières) semble également poser problème à ceux qui sont plus à l’aise, même si les proportions d’erreurs sont bien inférieures pour ces derniers. Solennel, particulièrement irrégulier, a posé problème à 84 % des enquêtés « bas » et à 50 % des enquêtés « haut ».

Nous observons donc les mêmes fragilités face à l’orthographe parmi les enquêtés des deux populations, même si les difficultés ressortent de manière plus forte chez les enquêtés « bas ».

Classement des pseudo-mots de la dictée selon la réussite phonographique

Selon le même principe que pour les mots, nous avons classé les pseudo-mots selon leur pourcentage de réussite phonographique en distinguant les deux populations. Pour faciliter la comparaison, les pseudo-mots sont classés du mieux réussi au moins bien réussi par les enquêtés « bas ».

Figure 4. Proportion de réponses correctes pour les enquêtés « bas » et « haut » pour chaque pseudo-mot selon le critère phonographique

Figure 4. Proportion de réponses correctes pour les enquêtés « bas » et « haut » pour chaque pseudo-mot selon le critère phonographique

Chez les enquêtés « haut », les taux de réussite sur les pseudo-mots sont compris entre 89 % et 95 % de réussite, alors que quelques mots obtiennent 100 % de restitution correcte (ex. confiture, voir figure 3). On s’attendrait donc à trouver 100 % de réussite sur les pseudo-mots, mais 8 % des formes proposées chez ces scripteurs, ne sont pas plausibles phonographiquement (ex. *sirabe pour sirape, *micadol pour micatol, *copare pour gobar, *jote pour joc, *lude pour dux, *bivabor pour pévanor). On observe un taux de réussite plus bas sur les pseudo-mots chez les enquêtés interrogés par un des enquêteurs (alors que 6 enquêtés sur les 11 interrogés ont pourtant obtenu de très bons scores à la dictée), ce qui pourrait s’expliquer par la manière dont il a prononcé les items. Certaines erreurs pourraient donc provenir d’un biais du protocole de l’enquête lié à la prononciation de l’enquêteur.

Pour expliquer les résultats des deux populations, plusieurs hypothèses peuvent être avancées. Nous pouvons d’abord supposer qu’il y aurait un impact de la structure syllabique ou du nombre de syllabes sur la réussite. Or sirape et micatol sont les deux pseudo-mots les mieux réussis par les deux populations, alors qu’ils ne présentent pas le même nombre de syllabes. Sirape et gobar, qui possèdent la même structure CV-CVC, sont réussis à respectivement 95 % et 90 % par les enquêtés « haut », 86 % et 75 % par les enquêtés « bas ». Par ailleurs tous les pseudo-mots commencent par une structure CV et se terminent par une structure CVC (sauf dux qui, phonologiquement, possède une structure CVCC). La différence de réussite proviendrait donc plutôt de la composition phonémique de ces pseudo-mots, avec des correspondances phonie-graphie plus faciles à restituer que d’autres, peut-être parce qu’elles sont plus faciles à saisir à l’oral ou parce qu’elles relèvent de schémas plus fréquents à l’écrit.

On peut également évoquer une difficulté liée à la surcharge cognitive, avec notamment en cause la place des pseudo-mots dans la dictée. La dernière phrase (qui est le titre d’un roman et son auteur) cumule les difficultés : Le fiancé solennel de Joc Pévanor, avec deux mots difficiles et deux pseudo-mots à la suite, dont l’un ressemble au prénom « Jacques ».

La différence de résultat entre les deux populations révèle néanmoins que si certains enquêtés « bas » semblent avoir de véritables difficultés d’ordre phonographique (en confondant certains phonèmes comme /i/ vs /e/, /ã/ vs /õ/, /p/ vs /b/, en inversant l’ordre des phonèmes ou en ne restituant pas tous les sons), la plupart possède de bonnes compétences dans ce domaine, le problème à l’écrit se situant davantage sur la connaissance de la norme orthographique.

Compétences orthographiques des enquêtés « haut » : analyse de la partie de l’épreuve portant sur le rayon « bricolage »

Nous présentons enfin les performances orthographiques des 87 enquêtés « haut » sur la partie complémentaire de la dictée. Proposée uniquement aux enquêtés « haut » lors de l’enquête complémentaire de 2014, cette extension de la dictée IVQ contient des difficultés lexicales et morphographiques plus importantes. Nous avons vu que si la dictée initiale avait permis de repérer les personnes les plus en difficulté, les résultats étaient plutôt homogènes chez les enquêtés « haut » (88 % d’entre eux ont obtenu plus de 80 % de réussite à la dictée IVQ). Nous regardons maintenant si le taux de réussite reste identique sur la suite de l’exercice.

Répartition des scores obtenus par les enquêtés « haut » sur la partie complémentaire de la dictée

Pour rendre compte des compétences orthographiques des enquêtés « haut » dans la deuxième partie de la dictée, nous présentons dans un premier temps la répartition des scores obtenus par les 71 enquêtés12 qui ont passé l’intégralité de la dictée complémentaire. Le barème sur 22 points prend en compte l’orthographe lexicale et la morphographie, avec 1 point attribué par item réussi.

Figure 5. Répartition des enquêtés « haut » en fonction des scores obtenus sur la partie complémentaire de la dictée

Figure 5. Répartition des enquêtés « haut » en fonction des scores obtenus sur la partie complémentaire de la dictée

En ce qui concerne le rayon « bricolage », 79 % des enquêtés « haut » ont obtenu plus de 80 % de réussite (avec un score compris entre 18 et 22). Lorsque l’on compare ce résultat avec celui obtenu sur la première partie de la dictée, on observe une proportion moins élevée de très bons scores (88 % avaient obtenu plus de 80 % de réussite) et des scores plus dispersés, compris entre 6 et 22 malgré une médiane élevée, de 21 sur 22. Par ailleurs, une proportion similaire d’enquêtés a obtenu un score maximal sur les deux parties de la dictée (29 % pour la dictée IVQ et 27 % pour la dictée complémentaire).

Si la proportion d’enquêtés qui n’ont pas rencontré de difficulté particulière avec l’orthographe lexicale et grammaticale des dictées est sensiblement la même, les écarts qui subsistent entre les enquêtés « haut » sont plus importants sur la partie complémentaire de la dictée, avec un résultat moyen plus faible et des difficultés parfois importantes pour quelques enquêtés « haut » (trois scores inférieurs à 10 sur 24) ; ces difficultés n’apparaissaient pas dans la première partie de la dictée. Pour savoir ce qui a posé problème aux enquêtés « haut » dans cette partie complémentaire, nous avons observé les taux de réussite sur chaque mot.

Classement des mots de la dictée complémentaire selon la réussite orthographique 

Nous présentons dans la figure 6 les performances orthographiques des 71 enquêtés pour les 22 mots du rayon « bricolage » : bricolageproduitsparfumésdégraissentpaquetsvisplatesciseauàboisnormalboiteallumettespincearracherclouspotpeinturequelquesmètrestuyauarrosage. Les pourcentages de réussite ont été calculés en fonction du nombre de réponses produites. Pour plus de lisibilité, les 22 mots de la dictée complémentaire ont été classés selon leur pourcentage de réussite.

Figure 6. Proportion de réponses correctes obtenues par les enquêtés « haut » pour chaque mot selon le critère orthographique

Figure 6. Proportion de réponses correctes obtenues par les enquêtés « haut » pour chaque mot selon le critère orthographique

Comme dans la dictée IVQ, nous observons un taux de réussite très élevé sur les mots les plus réguliers (pince, bricolage) et les plus fréquents (bois, deux) du corpus. Les mots sur lesquels nous relevons le plus d’erreurs sont ceux qui comportent des difficultés lexicales (arracher, ciseau, tuyau) ou morphographiques (accord en nombre de plates, allumettes, etc.). Pour voir si les différences de compétences chez les enquêtés « haut » portent sur la morphologie, nous avons observé les marques de nombre attendues, ainsi que les mots sur lesquels le nombre ne doit pas être marqué et qui peuvent poser problème (par exemple l’adverbe fort qui se trouve à proximité d’un verbe au pluriel ou ciseau à bois utilisé ici au singulier).

9 Nous avons conçu un barème différent de celui de l’INSEE pour définir un score de réussite à la dictée. L’INSEE a choisi de ne pas prendre en

10 Nous qualifions ici d’irrégulières les correspondances phonie-graphie pour lesquelles la transcription du phonème ne se réalise pas par l’

11 Voir la figure 7, p. 11.

12 Nous ne disposons que de 71 dictées complémentaires complètes sur les 87 produites par les enquêtés « haut ». Un des enquêteurs a en effet omis de

9 Nous avons conçu un barème différent de celui de l’INSEE pour définir un score de réussite à la dictée. L’INSEE a choisi de ne pas prendre en considération certains items jugés peu significatifs, de valoriser davantage la morphographie sur fromages et sentent en attribuant 2 points à chaque marque de nombre et de procéder à des imputations de réponses correctes en cas de non réponse. Voir Blondel, Brissaud, Conseil, Mortamet, Jeantheau (2016) pour plus de précisions sur le codage retenu par l’INSEE.

10 Nous qualifions ici d’irrégulières les correspondances phonie-graphie pour lesquelles la transcription du phonème ne se réalise pas par l’utilisation du graphème le plus fréquent.

11 Voir la figure 7, p. 11.

12 Nous ne disposons que de 71 dictées complémentaires complètes sur les 87 produites par les enquêtés « haut ». Un des enquêteurs a en effet omis de dicter le dernier item de la dictée complémentaire à 16 enquêtés.

Figure 2. Répartition des enquêtés « bas » et « haut » en fonction des scores obtenus à la dictée du module bas

Figure 2. Répartition des enquêtés « bas » et « haut » en fonction des scores obtenus à la dictée du module bas

Figure 3. Proportion de réponses correctes pour les enquêtés « bas » et « haut » et pour chaque mot selon le critère orthographique

Figure 3. Proportion de réponses correctes pour les enquêtés « bas » et « haut » et pour chaque mot selon le critère orthographique

Figure 4. Proportion de réponses correctes pour les enquêtés « bas » et « haut » pour chaque pseudo-mot selon le critère phonographique

Figure 4. Proportion de réponses correctes pour les enquêtés « bas » et « haut » pour chaque pseudo-mot selon le critère phonographique

Figure 5. Répartition des enquêtés « haut » en fonction des scores obtenus sur la partie complémentaire de la dictée

Figure 5. Répartition des enquêtés « haut » en fonction des scores obtenus sur la partie complémentaire de la dictée

Figure 6. Proportion de réponses correctes obtenues par les enquêtés « haut » pour chaque mot selon le critère orthographique

Figure 6. Proportion de réponses correctes obtenues par les enquêtés « haut » pour chaque mot selon le critère orthographique

Carole Blondel

Université Grenoble Alpes, LIDILEM, F-38000 Grenoble, France

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